Reine Rania de Jordanie a visité le camp de réfugiés de Kara Tepe sur l'île de Lesbos.

Sa visite, dans le cadre de l'International Rescue Committee (IRC) a été annoncé. Le lundi 25 Avril, la reine Rania de Jordanie était sur l'île grecque de Lesbos, la première passerelle pour les réfugiés et les migrants en Europe continentale. Très impliqué dans crisi migrants syriens affectant grandement son pays, l'épouse du roi Abdallah II a visité pendant une heure camp ouvert Kara Tepe qui sont hébergés 950 migrants et des réfugiés, 600 sont arrivés depuis Mars 20 Date d'entrée en vigueur de l'accord qui prévoit la référence générale aux nouveaux arrivants Turquie. Il est le même camp que François avait visité le Avril 16. Le pontife a ensuite été envoyé au monde un message de soutien aux réfugiés en lui apportant au Vatican douze musulmans syriens.

Rania, qui était vêtu d'un pantalon noir rentré dans des bottes et un haut noir et blanc, a pris le temps de discuter avec plusieurs familles syriennes et afghanes, assis parmi eux. Très impliqué dans les causes des droits des femmes l'éducation, la santé et, elle a été accueillie avec enthousiasme dans le camp par les réfugiés, surtout les femmes qui ont particulièrement apprécié d'être capable de l'exprimer dans leur propre langue. Reine de Jordanie a également vu les réfugiés et les enfants de la région qui participent ensemble à une activité de peinture murale.
Parlant dans un discours aux journalistes, la Reine de Jordanie a demandé à nouveau une réponse collective mondiale à apporter à la crise des réfugiés. "La responsabilité de cette crise ne peut pas être définie par la géographie. Et je pense que nous devons amener l'humanité et de compassion dans le débat. Parce que dans la fin (...) il est pas des accords, mais de la dignité humaine en question," dit-elle . Rania a également appelé à des "routes plus sûres» pour ceux qui souhaitent visiter l'Europe. "De nombreuses organisations humanitaires ont exprimé leur profonde préoccupation au sujet de l'accord UE-Turquie (...) Je pense que la grande préoccupation est que la plupart des réfugiés continueront en désespoir de rechercher la sécurité et la protection en cherchant de nouvelles routes encore plus dangereux, et déjà nous assistons à l'expansion des routes alternatives en Europe. donc, il est absolument crucial pour nous de chercher des alternatives juridiques et des routes plus sûres (...) vers l'Europe et les zones de sécurité ", dit-elle.
Photo Credits: Paris Match